Cette chronique se veut un trait d’union, parce que les familles vivent géographiquement éclatées aujourd’hui et qu’il n’est donc pas aisé de transmettre leur histoire aux petits-enfants.

“... Et vous, quand vous irez à Marrakech, ouvrez vos yeux aux couleurs, vos oreilles aux sonorités. Regardez bien les murs roses-ocres, le ciel bleu, le soleil jaune, les fleurs blanches des orangers, les Djebilets violettes. Écoutez les tibibs piailler dans les oliviers, les tourterelles roucouler sur les cyprès. Sentez sur votre peau l’air frais du matin quand la journée va être chaude. Et rêvez comme ceux que cette ville a rendus heureux.”